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actualité politique nationale et internationale

AMNISTIA DE LOS PRESOS POLITICOS

 

 

http://www.elmundo.es/cataluna/2017/11/02/59fb1446ca4741b7768b459e.html

 

Ada Colau accuse la juge d'agir par vengeance contre le gouvernement de Carles Puigdemont

 

Elle propose un front commun avec les souverainistes pour l'amnistie des prisonniers politiques catalans

 

Ada Colau a considéré comme une « absurdité juridique et une grave erreur politique » l’emprisonnement d’Oriol Junqueras et de sept autres anciens ministres du gouvernement catalan. La maire de Barcelone a considéré que la décision de la juge Carmen Lamela « ne peut être expliquée que par l'esprit de vengeance et par la volonté d’humilier les institutions catalanes et leurs représentants légitimes ».

Le leader de Catalunya en Comu a proposé aux souverainistes un « front commun pour obtenir l’amnistie des prisonniers politiques catalans et pour arrêter l'application de l'article cent cinquante cinq ».

Ada Colau, qui est apparue exceptionnellement pour affirmer sa position, était déjà intervenue dans le même sens dans la matinée du Jeudi 2 Novembre 2017 quand la séance plénière du conseil municipal de Barcelone avait approuvé une proposition d’Esquerra Republicana de Catalunya (ERC) qui reconnaissait le gouvernement destitué de Carles Puigdemont comme « le gouvernement légitime de la Catalogne » et le parlement issu des élections du 27 septembre 2015 comme « le seul représentant légitime du peuple de Catalogne ». La proposition de l’ERC a été approuvée par les voix de Barcelona en Comú, le parti de la maire Ada Colau, qui a décidé de s'aligner avec les forces indépendantistes du conseil municipal, l’ERC, le Parti Démocrate Européen de CATalogne (PDECAT) et la Candidature d’Unité Populaire (CUP).

Le numéro deux d’Ada Colau, Gerardo Pisarello, a exprimé de vive voix sa reconnaissance de Carles Puigdemont et de ses anciens ministres comme les « dépositaires légitimes de la volonté du peuple catalan », même s’il leur a reproché d’avoir parfois agi de manière illégitime, comme au cours de l’approbation des lois de rupture par le parlement, le 6 octobre et le 7 octobre 2017.

Gerardo Pisarello a déclaré que cette action illégitime « ne justifie en aucun cas la répression » avec laquelle, selon lui, le gouvernement central a répondu et qui a abouti à l'application de l'article cent cinquante cinq.

Le gouvernement d’Ada Colau a soutenu la proposition d’ERC après avoir accompagné les forces souverainistes dans la manifestation qui a eu lieu dans la matinée du Jeudi 2 Novembre 2017 sur la place Sant Jaume en protestation contre la persécution judiciaire des membres du gouvernement destitué. Ada Colau et Gerardo Pisarello eux-mêmes ont mené le rassemblement avec les représentants de l'Assemblée Nationale Catalane (ANC) et de l’Omnium Culturel.

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