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27 mars 2009 5 27 /03 /mars /2009 20:56

Après quatre mois d’existence, où va le Parti de Gauche ?

 

www.socialisme-maintenant.org

Intervention de Robert Duguet lors de la réunion du samedi 14 mars du club Socialisme Maintenant, revue et prolongée sur quelques points supplémentaires. 

Sur fond de crise sociale, rappelons la victoire remportée par le peuple guadeloupéen et le développement des mouvements sociaux, en particulier à l’université et dans les IUFM au seuil d’une victoire possible contre Sarkozy, la question de la représentation politique du salariat pèse très lourd. Deux formations politiques nouvelles sont apparues sur l’échiquier politique français, le NPA et le PG. Répondent-elles aux exigences de l’heure ? Issu de la gauche du Parti Socialiste, j’ai rejoint le PG dès son meeting de proclamation le 29 novembre 2008. Je connais mal le NPA et l’histoire de la LCR, je me garderai bien d’énoncer des vérités qui ne soient pas fondées sur des faits constatés et analysés. Je vais donc essayer de répondre à la question posée : après quatre mois d’existence où va le PG ?

Face à la montée en puissance du mouvement social et à la crise du régime, l’une et l’autre organisation se situent essentiellement sur la perspective électorale des européennes de juin. Relisons la récente déclaration des onze organisations politiques (incluant le PS et le MRC) d’appel à la journée du 19 mars :

« Nous saluons la victoire des Guadeloupéens notamment sur l'augmentation de 200 euros pour les bas salaires et sur les mesures contre la vie chère. Nous saluons le mouvement à l'université qui a obtenu le gel, pour deux ans, des suppressions de postes d'enseignants-chercheurs. »

Réduire la grève générale du peuple guadeloupéen à l’obtention des 200 euros et oublier au passage la revendication centrale, à savoir le retrait pur et simple des mesures de démantèlement et de privatisation de l’Université, c’est plus qu’un oubli… il est vrai qu’ils cosignent avec le PS !

Globalement la déclaration des onze s’en tient à une déclaration que l’on pourrait caractériser de syndicaliste, alors que le mouvement dans les DOM TOM a un caractère anticapitaliste et qu’il pose la question de la reconstruction de la société sur d’autres bases économiques et civilisationnelles. La video qui tourne sur le web, l’interview de Elie Domota est très clair, le mouvement du LKP pose la question de « changer la vie ». Le LKP est un front regroupant parti et syndicats et toutes les forces vives de la société guadeloupéenne, le seul précédent historique ayant eu les mêmes caractéristiques était le front de l’Alliance Ouvrière dans la grève générale insurrectionnelle des Asturies contre Franco. De même les éléments de conscience politique qui émergent dans le combat pour sauver l’université, que nous avons souligné à travers la publication du texte de Gladia Roulin par exemple, expliquant ceci :

« Les "réformes" du gouvernement actuel se font au mépris complet des besoins humains. Cela est très clair vis-à-vis de l'école, c'est tout aussi clair vis-à-vis du démantèlement généralisé des services publics. Que ce soit l'hôpital, la sécu., la poste, les transports, les tribunaux, etc..., ainsi que les délocalisations, tout ne tend qu'à un seul but : produire des profits financiers, pour ceux qui ne savent déjà pas quoi faire de leur argent. (En nous dépossédant hypocritement de ce qui nous appartient collectivement, et que nous devrions pouvoir gérer nous-mêmes directement). »

Je pense que nous sommes entrés dans une situation de nature pré-révolutionnaire et qu’il y a un gouffre entre les aspirations de la société, le mouvement des producteurs, et le vieux mouvement ouvrier c’est une évidence absolue, mais aussi vis-à-vis des nouvelles formes politiques qui sont apparues dans la période récente, NPA et PG. Le PG soutient les luttes, surfe sur les luttes, mais sur une pure perspective électorale. Ce n’est pas un parti qui s’oriente sur la nécessité d’aider l’auto-organisation du mouvement social.

Le PG nait de la crise d’un Parti Socialiste dans lequel était à l’œuvre une scission larvée depuis 2004 et la bataille pour le non au TCE, l’autre de la volonté d’une courant issu du trotskysme de s’ouvrir à la construction d’un parti anticapitaliste et démocratique de masse. Sur le plan objectif, indépendamment de ce qu’on peut penser de l’orientation et du programme des deux formations, elles émergent l’une de la crise du Parti d’Epinay, mais plus largement de la crise de la social-démocratie européenne, l’autre d’un trotskysme dans l’incapacité quasi-organique depuis la fin de la seconde guerre mondiale de déboucher sur la construction d’un parti de masse. C’est un défi que la vieille LCR voulait relever.

Je ferai deux références :

L’une au 29 novembre lors du meeting de déclaration du parti de gauche. Son leader fondateur Jean Luc Mélenchon déclare :

« Nous voulons créer un parti creuset, un parti ouvert et démocratique, où toutes les sensibilités sont les bienvenues… (et poursuivant) un parti ouvert à la diversité des expériences, communistes, socialistes, trotskystes, anarchistes et aussi écologistes. Un parti pour les sans-voix, soucieux de fraternité et de solidarité, un parti sans clans, sans culte des chefs ou de domination des spécialistes de la politique. » Le tout sous l’ombre tutélaire de Jean Jaurès et de Louise Michel. Soit. Nous avons adhéré et fait adhérer.

La surface militante du meeting des 3000, c’est globalement des militants venant de la gauche de la gauche, ou anciens de la gauche du PS cherchant une réponse politique.

L’autre référence c’est le meeting du Zénith du 8 mars, regroupant 6000 personnes, soigneusement quadrillé par l’organisation du PCF et ses relais syndicaux. En dehors de ce qui gravite autour de l’équipe d’animation du PG, côté gauche de la gauche, la mobilisation est très faible. En trois mois on peut observer une évolution qui ne va pas dans le bon sens.

J’ai choisi d’entrer au PG, mon propos est donc, au regard de la situation d’ensemble de formuler des réponses en m’appuyant sur l’état d’esprit des militants qui composent cette formation.

Lors du congrès constitutif du 29 janvier et 1er février à Limeil Brévannes, malgré des problèmes de fonctionnement démocratique attribués à la jeunesse de l’encadrement militant issu de l’association PRS (Pour la République Sociale), l’état d’esprit de la plupart des congressistes c’était l’enthousiasme à l’idée de relever le défi, participer à la construction d’une force nouvelle à gauche. Trois mois après le meeting de Saint Ouen et un mois après le congrès constitutif, si j’essaie de prendre en compte ce que me disent divers camarades du PG, on relève un constat et trois interrogations :

Le constat

c’est que les couches militantes qui pouvaient naturellement se retrouver dans ce type d’initiative, sont restés en lisière ou à l’écart, la conscience c’est laissons voir venir : je pense à des militants autour de moi qui ont vécu d’autres expériences politiques PS ou PCF, ou expérience d’élus locaux sans parti.

Trois interrogations :

- le fonctionnement bureaucratique du parti, les structures décisionnelles étant verrouillées par l’ex-courant, PRS. Cela n’est pas sans me rappeler le verrouillage du MDC par son logiciel fondateur, le courant « Socialisme et République » de Jean Pierre Chevènement. Ceci marqué dans le PG par la mise à l’écart de militants qui ont une autre histoire politique dans le processus de sélection des congressistes ou des élus aux instances de direction, quand ceux-ci ne sont tout simplement pas convoqués à leur comité local. Ceci renvoyant du reste aux structures du nouveau parti qui posent sérieusement problème : l’instance décisionnelle est le comité de circonscription ; les cercles locaux regroupent un maximum de cinq membres, au-delà ils doivent statutairement se scinder en deux ; ils sont en fait de simples exécutifs chargés de coller les affiches, distribuer les tracts, préparer les réunions publiques, bref les petites
mains… On ne retrouve pas la structuration classique des organisations du mouvement ouvrier où la section locale est une instance de décision. Par ailleurs classiquement un congrès élit le parlement du parti, le Comité National, lequel élit en son sein un Bureau National. Là le congrès a élu directement le bureau national. Le comité national sera constitué de représentants élus d'un congrès à l'autre par les adhérente-s en assemblée départementale, les délais n’ayant pas été respectés par la direction pour le Comité National du 7 mars, on a assisté à de véritables levées de bouclier dans les départements. Là encore on observe la mise à l’écart de militants représentatifs localement pour l’élection au Conseil National.

Pour les militants du PG la politique du Front de Gauche n’est possible que si on ne s’enferme pas dans un tête à tête avec la direction du PCF.

Une configuration qui verrait une liste PG-PCF, avec à côté une liste NPA, sonnerait inéluctablement la fin de l’expérience du PG. Le meeting du Zénith était essentiellement composé de militants mobilisés par l’appareil du PCF et ses relais syndicaux. Christian Picquet et son courant rejoint le front PC-PG, donnant au dispositif la caution d’une fraction « unitaire » de la gauche de la gauche. Tandis que Picquet dans son intervention en appelle à la responsabilité du NPA et à la nécessaire unité contre Sarkozy et contre le social-libéralisme, Mélenchon centre son intervention essentiellement sur un appel aux salariés et aux français pour dire non à l’Europe du néo-libéralisme. Une courte allusion au personnage médiatique Besançenot qui privilégie sa boutique contre l’intérêt général… En revanche, Raquel Garrido, responsable du PG aux questions internationales, fait une ouverture en direction « des socialistes», leur place est dans le front de gauche.

Beaucoup pensent être sortis trop tard du Parti Socialiste, le bon moment étant à leur sens, la situation créée par la victoire du non en mai 2005. Pour les acteurs de la victoire du 29 mai 2005, le congrès du Mans représentait un enjeu. Une réponse était attendue. Les militants, plus largement les citoyens n’attendaient pas grand-chose du congrès de Reims.

Ceci renvoyant directement à la responsabilité de Mélenchon qui est entré avec Fabius dans la synthèse du Mans au nom d’un accord avec la direction du PS, celle-ci s’engageant à appeler à un nouveau referendum en cas de nouveau traité. Accord sur lequel la direction Hollande s’est assis… En 2004-2005 il y a eu un mouvement dans les profondeurs du salariat cherchant son expression politique à travers les combats des collectifs, comités divers qui se sont alors constitués ; une sortie du PS à ce moment là se serait appuyée sur un mouvement politique à chaud et aurait entrainé une base beaucoup plus large dans la création d’un parti de type nouveau…

Sur la base du mouvement des comités, une construction politique nouvelle aurait naturellement fait cause commune avec la démocratie. Mélenchon a choisi de sortir dans des conditions infiniment moins intéressantes mais en revanche bureaucratiquement contrôlées par le petit appareil de PRS et ceux qui s’y sont associés pieds et poings liés : je pense à Marc Dolez qui est entrés dans la direction du PG en acceptant de dissoudre son propre réseau, Forces Militantes.

La question pour nous est de pouvoir passer de la contestation du blocage bureaucratique à la critique des éléments programmatiques. Si cette passerelle ne peut pas s’opérer, il ne sera pas possible de se maintenir dans cette organisation.

Le texte le plus important du congrès de Limeil Brévannes, celui qui tout de même porte sur ce que propose en matière économique le Parti s’il accède ou s’il participe à une coalition au pouvoir, a été parachuté en séance d’ouverture par Claude Debons, sans que son contenu n’ait été discuté dans aucune instance locale. Je précise que même au PS les textes des courants de pensée sont discutés, déjà sous forme de contributions puis de motions par toutes les instances du parti. Les 29 propositions économiques sont construites sur l’idée du partage des richesses. Je ne voudrais pas reprendre ce qu’a déclaré le chef de l’Etat il y a quelques semaines lorsqu’il dit que le bon capitalisme c’est celui qui consacre 33% de la richesse produite à l’investissement, 33 aux dividendes des actionnaires et 33 aux salaires. La politique du dialogue social, imposée par Sarkozy, à laquelle souscrivent tous les appareils
syndicaux, de la CGT à la CFTC, s’inscrit dans ce schéma. L’idéal serait pour lui, si naturellement la crise n’était pas là, de ramener davantage le curseur vers les salaires. La conception de Debons, ou de Généreux, qui sont les économistes faisant autorité au PG, repose sur l’idée d’un développement néo-keynésien, de relancer par des initiatives décidées par l’Etat la consommation en augmentant les salaires. Le texte ne fait pas référence au socialisme mais à l’alter-développement.

L’idée du partage des richesses est sans doute idéologiquement séduisante pour le citoyen ordinaire, en fait elle appartient plus à l’orientation de « rerum novarum » et aux fondements du catholicisme social qu’au mouvement ouvrier. Je fais remarquer que les économistes en titre du PG, Debons et Généreux, appartiennent l’un est issu de la gauche de la CFDT et l’autre se définit comme chrétien de gauche. Et aucune des 29 mesures avancées n’est anticapitaliste, c'est-à-dire posant le problème de la reprise de l’outil de production par les producteurs associés, produisant pour satisfaire les besoins sociaux. Que ces positions forment l’ébauche d’un corps de doctrine néo-réformiste, soit, la question est de savoir si ces propositions peuvent être librement discutées sur le fond par les militants au sein du même parti. Pour l’instant elles ne peuvent pas l’être.

Je renvoie les camarades à l’excellente explication d’Alain Bihr, l’article publié dans la revue A l’encontre, intitulée « A la croisée des chemins » où l’auteur pose la question de la possibilité d’un néo-keynésianisme :

« Cette perspective n’a pas encore fait, pour l’instant, l’objet d’une formulation théorique claire ni d’une revendication politique explicite. Les propositions qui la composent s’élaborent encore en ordre dispersé dans un arc de formations politiques qui va des ailes gauches des anciennes forces réformistes ralliées depuis des lustres au social-libéralisme jusqu’aux milieux altermondialistes (type ATTAC) en passant par les formations ouvertement néo-réformistes (tels certains courants de partis écologistes, Die Linke en Allemagne, Rifundatione Communista en Italie, etc.) »

Si je m’adresse aux militants du PG, je pose la question est-ce possible ? L’article d’Alain Bihr explique très précisément que la relance keynésienne n’est pas parvenue à surmonter les contradictions internes à la crise du mode de production capitaliste. En France elle a été tentée par l’expérience gouvernementale, le gouvernement Mitterand-Mauroy entre 1981 et 1983. Nous n’étions pas dans une période de crise comme maintenant, mais globalement elle se solde par la nationalisation des pertes, avant que l’adaptation aux politiques de la social-démocratie européennes ait pour conséquence après 1983 la privatisation des profits. Par ailleurs la grande crise de 1929 a été enrayée par un plan de relance américain de type keynésien, mais dans le sens de la préparation d’une destruction massive des forces productives dans la seconde guerre mondiale. In fine le capitalisme résout ses propres contradictions par la marche à la destruction de la civilisation. Qui disait que le capitalisme portait en lui la guerre, comme la nuée l’orage, Jean Jaurès je crois.

Va-t-on refaire ce chemin-là ? On sait où cela conduit.

A l’étape, la construction du PG apparait plus proche (positions sur la République sociale, « la patrie républicaine » d’un côté (Mélenchon) et de l’autre néo-keynésianisme des Debons-Généreux, idéologues en titre du mouvement, m’apparait bien proche des positions qui furent celles du MDC de Chevènement. Avec à la clef le verrouillage bureaucratique de l’organisation qui dans les deux cas est au rendez-vous.

Un point sur la référence à la « patrie républicaine » et à ses valeurs qui forme une partie de l’arrière fond idéologique. Lorsque Sarkozy, en acceptant de se rendre au Latran, est allé faire acte d’allégeance auprès de Benoit XVI, ce pape de l’opus dei qui vient d’ailleurs de lever l’excommunication contre les évêques intégristes, une émotion légitime a gagné les milieux laïques. Jean Luc Mélenchon a fait une série de conférence sur le thème de la défense des valeurs républicaines contre les positions défendues par Sarkozy autour de l’idéologie de l’extrême droite américaine du « choc des civilisations ». Il n’est pas hasardeux que la première conférence sur ce thème ait été faite au sein du grand orient de France, puis publiquement… A juste titre la logique du « choc des civilisations » à laquelle le régime de Sarkozy souscrit, rencontre un obstacle en France, celle de la laïcité républicaine. Je veux bien qu’on relève le drapeau de la laïcité, encore faut-il pousser la discussion jusqu’au bout et tirer le bilan des politiques menée par le PS au pouvoir sur cette question. On doit au PS d’avoir perdu la bataille sur la laïcité de l’école, l’ensemble des lois antilaïques prorogées par la Vème République, ont non seulement été appliquée mais amplifiées. On doit au PS la destruction du CNAL et l’explosion dans les années 1990 de la FEN, centrale syndicale unitaire. Je n’oserais poser la question du début de privatisation de l’enseignement technique publique sous le gouvernement Jospin, lequel gouvernement a vu contre lui les plus grandes manifestations de toute l’histoire de la profession enseignante. Cela aussi il faudra en tirer le bilan jusqu’au bout. La laïcité a fait l’objet ces dernières années de maintes instrumentalisations qui n’ont plus grand-chose à voir avec l’esprit de ses fondateurs. La refondation d’une pensée de l’émancipation sociale devra, sur cette question, exercer un droit d’inventaire précis, notamment de ce qu’ont fait au gouvernement les majorités PS-PCF, puis gauche plurielle.

Ceux et celles qui ont rejoints le PG, globalement l’ont fait pour rompre avec le social-libéralisme. Mon dernier point portera sur la stratégie du Front de Gauche. Il semble que la direction du PG se résigne devant la configuration politique qui se profile pour juin 2009, de fait alliance PC-PG qui ne lèvera aucune dynamique. Visiblement, dans le meeting du Zénith, le PCF apparait comme la force dominante, celle qui donne le cadre et qui dit avec qui il faut discuter et avec qui il ne faut pas discuter. Pour les élections européennes de juin il n’y avait, de mon point de vue, une seule position tenable : faire un front avec toutes les composantes du non au TCE et au Traité de Lisbonne, sans exclusive. A l’intérieur de ce front, libre à chacune des organisations de défendre ses propres positions, par exemple libre à la direction du NPA de donner le contenu anticapitaliste du vote, contre Sarkozy et son régime, contre l’Europe de Lisbonne et contre le social-libéralisme du PSE. Si la direction du PCF pose des conditions inacceptables, libre au PG de faire alliance avec le NPA et les autres organisations de la gauche de la gauche, disponibles pour donner un contenu anticapitaliste au vote de juin. La position actuelle risque de nous ramener, via un PCF qui est totalement dépendant électoralement du PS, vers une nouvelle alliance gouvernementale avec le social-libéralisme, une gauche plurielle-bis.

Lorsque le dépôt des listes électorales viendra ou non confirmer ce que nous écrivons, nous prendrons alors nos responsabilités.






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commentaires

P
Je voulais aussi diffuser ce texte. Donc c'est fait.<br /> <br /> Côté NPA, c'est le même constat : club ex-LCR, si j'en croie ce que je lis dans Betapolitique et ailleurs.<br /> <br /> Dommage, les idées sont bonnes, mais les égos, les multiples micro-chapelles transforment en sable ce qui devrait cimenter l'union.
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